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Travailler comme volontaire
Le BVES est toujours à la recherche de volontaires compétents mais aussi de stagiaires
internationaux pour partager connaissances et expériences dans les domaines aussi
variés que ceux brassés par l’association, notamment l’animation/encadrement de
jeunes, l’éducation, le droit, la médecine, la sociologie, la psychologie, la pacification,...
Pour toute information, contacter Murhabazi
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Le BVES a besoin de vous pour continuer son travail de promotion, de protection
et de défense des droits fondamentaux des enfants. Chaque geste de charité posé
envers le BVES aide à sauver des dizaines d'enfants en RD Congo.
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Organiser des activités de récolte de fonds et de matériel pour le BVES.
Idées d’actions à mettre en place :
- Un souper africain
- Un poker où une partie des gains serait reversée à l’association
- Une vente aux enchères
- Une soirée
- Un concert
- Etc.
Pour plus d'informations, contacter
Nadège VAN MECHELEN.
Le témoignage de Nadège (volontaire belge)
Spécialiste en animation socioculturelle et éducation permanente
« J’ai rencontré Muna pendant mon stage de fin d’études chez Amnesty International.
Il m’a parlé du BVES, de son travail avec les enfants soldats,… J’ai tout de suite
pensé qu’il faisait un travail spectaculaire et tellement important là-bas, en RDC.
Après mes études, j’ai monté un projet de partenariat avec lui et c’est comme ça
qu’en mars 2010, je me suis retrouvée à Bukavu. J’ai travaillé pendant 5 mois au
CTO (Centre de Transit et d’Orientation) avec des anciens enfants soldats.
Mon travail consistait,
entre autres, à donner une formation au staff sur les méthodes d’animation et à
améliorer la gestion de l’organisation et la communication au sein du Centre. Une
autre partie de mon travail était d’organiser chaque semaine un cours de dessin
avec les enfants. Cette partie du projet, je l’ai réadaptée un fois sur place pour
la transformer en classe d’art thérapie. En effet, je me suis rendu compte que le
dessin permettait aux jeunes d’exprimer des choses sur lesquelles ils n’arrivaient
pas toujours à mettre des mots. Ensuite, je faisais des entretiens individuels avec
eux, afin d’analyser le contenu de leurs productions et le sens qui s’y cachait.
A part cela, j’ai été très vite intégrée comme membre à part entière de l’équipe
d’éducateurs et j’ai donc pris part aux activités quotidiennes du CTO : suivi de
dossiers, réunions (internes et avec tous les acteurs présents sur le terrain dans
le domaine de la protection de l’enfance), suivi psychosocial des ESFGA, sensibilisations
sur des thèmes tels que l’hygiène, la cohabitation pacifique,… Mais j’ai aussi participé
à l’organisation de formations sur la protection des enfants pour les militaires
et la société civile ainsi qu’à la réunification familiale d’enfants.
Bref, cette expérience m’a apporté énormément, que ce soit à un niveau personnel
ou professionnel. J’ai appris beaucoup de choses, j’ai apporté ma pierre à l’édifice,
et je n’oublierai jamais les échanges et les rencontres merveilleuses que j’ai faits
là-bas. »
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